Avant même de reprendre la présidence américaine, Obama a été forcé de se pencher sur […]
Lorsque l’on pose un regard sur notre système d’enseignement secondaire (ceci tient aux nuances près […]
Hier après-midi, environ 25 Iraniens ont manifesté, avec la participation du Parti Socialiste de Lutte […]
Ce dimanche s’est déroulée une manifestation massive de Bruxelles-Midi à Bruxelles-Nord. Des dizaines de milliers […]
Une pièce bombardée de peinture, garnie de croix gammées et de phrases injurieuses, une partie de notre matériel détruit (spécialement nos tracts de solidarité avec les sans-papiers),… Voilà l’état dans lequel EGA a retrouvé le lieu où il entrepose son matériel à l’université en ce début d’année. On pourra remarquer la lâcheté de leur geste puisqu’ils ont profité de l’absence de nos membres et de la communauté universitaire pour pouvoir s’introduire dans le local afin de le souiller de leur propagande réactionnaire.
«Adieu et bon débarras», a déclaré le Financial Times, porte-parole du monde des affaires, dans son bilan de l’année 2008. Son abattement, de même que chez tous les sorciers-docteurs du capitalisme, est bien mérité, étant donné le ralentissement économique qu’il n’avait de ses propres aveux pas prévu : «La profession [d’économiste] n’est pas parvenue à assembler les pièces du puzzle qui auraient permis d’anticiper l’ampleur de la crise imminente».
Déclaration traduite de l’hébreu publiée le 30 décembre par le Mouvement Socialiste de Lutte (Tnu`at Maavak Sotzyalisti / Harakat Nidal Eshteraki – CIO – Israël), dans le contexte d’une vague réactionnaire très forte de militarisme et de nationalisme parmi les Juifs israéliens.
En 1980, le gouvernement dépensait encore 7% du PIB pour l’enseignement. Aujourd’hui, ce chiffre a été ramené à 4,9% alors qu’il y a deux fois plus d’étudiants. Sans surprise, ce rabotement est une conséquence de la politique néolibérale. Cette politique de cadeaux aux patrons entraîne une paupérisation de la société. Les étudiants en sont parmi les premiers touchés.
Des cris de protestations d’étudiants et de travailleurs du secteur de l’enseignement contre les tentatives de la classe capitaliste de décapiter l’enseignement se font entendre à travers le monde.
Ce samedi 15 novembre, quelques 200 jeunes ont donné le coup d’envoi de la campagne “Respact”. Cette campagne veut organiser en avril une grande manifestation nationale contre le coût toujours croissant des études. La journée Respact a été organisée par une plate-forme d’une trentaine d’organisations syndicales et politiques. Nous soutenons cette campagne et avons activement participé à la journée Respact. Nous y avons organisé trois ateliers, y avons tenu un large stand d’information et sommes intervenus dans diverses autres discussions.